C’est la place qu’occupe la France dans la treizième édition du classement de Shanghai publié samedi, qui prend en compte six critères – dont le nombre de prix Nobel ou d’articles publiés dans les grandes revues scientifiques – afin d’établir le palmarès des 500 plus grandes universités. Comme en 2014, il est trusté par les américaines (Harvard, Stanford, MIT…), qui raflent 8 des 10 premières places. La France n’en compte que 4 dans le top 100. Grâce au Nobel de son économiste vedette, Jean Tirole, la Toulouse School of Economics fait son apparition. La première université chinoise, celle de Pékin, n’est que 115e
Libération 16/08/2015